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Un type qu’on aime.

I met this Italian hippy girl called Linda in Gladstone Park, where I’d go and sit under a tree and read Keats. She was playing guitar, smoking a spliff, and I just wandered over and said hello. Linda was really tall and really androgynous-looking, quite striking.

Years later she went back to Milan and turned up presenting a show on Italian MTV. We used to have these nights at her little house in Dollis Hill where shed cook pasta for me and we’d watch these films I rented out.

I watched Jules et Jim, another classic French New Wave movie, for first time at Linda’s, all about these two friends who fall in love with the same girl, a great film, directed by François Truffaut.

I showed it to Carl, and he was into it as well; in fact, Carl and I went on to try and live that film a few times, as you’ll discover.

Divina Commedia.

Tu es là, dans l’ombre. Tu me regardes. Tes yeux sont tristes, mais il y a toujours cette vénération pour ce que j’ai accompli. Tu sais que je n’ai pas d’autre choix; que, pour l’amour de l’humanité, je dois protéger mon grand œuvre.

Car il grandit déjà… attendant son heure… luisant dans les eaux rouges d’un lagon où ne se reflète aucune étoile.

Alors je m’arrache à ton regard – il le faut -, relève la tête et contemple l’horizon. Dominant ce monde accablé, je prononce ma dernière supplique.

Cher Dieu, je prie le ciel pour que le monde se souvienne de moi non comme un monstre, mais comme un juste, le grand sauveur des hommes. Car, jusqu’au tréfonds de mon âme, c’est ce que je suis, et vous le savez. J’espère que l’humanité comprendra le cadeau miraculeux que je laisse derrière moi.

Car il est l’avenir.

Le salut.

Mon Inferno.

Roman.

5 h 30 du matin, j’ai dormi à peine trois heures. J’enfile mes affaires et entre dans la pièce voisine où ma mère et ma petite sœur dorment profondément. Je secoue doucement ma sœur pour la réveiller et lui dis qu’il est temps de partir. Ses yeux s’ouvrent et elle se redresse en bâillant. Je lui souris et réveille ma mère.

Fusil d’assaut bien disposé dans mon sac, nous quittons la maison. Le village est tranquille, nous le traversons sans bruit et arrivons rapidement dans un bois.

Nous marchons depuis deux heures quand nous arrivons au pied d’une falaise praticable uniquement par un sentier étroit. Nous grimpons prudemment et avançons avec précaution, en restant aux aguets.

La forêt est enfin derrière nous, nous sommes maintenant sur le plateau qui mène à la prochaine ville. Nous avons encore plusieurs heures de marche devant nous, mais ces heures vont être difficiles à passer, car je sais que la ville a été lourdement bombardée depuis le début de la guerre, j’essaye de ne pas y penser, mais je ne peux m’en empêcher, ma famille est là avec moi et ça me rend nerveux.

Nous poursuivons et tombons sur un barrage de militaires. La route est bloquée. Nous devons décider si nous allons être contraints de remonter la colline ou tenter notre chance. Remonter la colline serait trop difficile, et il serait impossible de voir si quelqu’un nous suit. A pied, nous n’avons aucune protection assez performante si nous venons à rencontrer plusieurs patrouilles russes.