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Samedi matin.

Ambiance pesante à Paris, sous une épaisse fumée de violence.

Ici, le ciel était parfaitement dégagé, d’un bleu somptueux. L’Enlumineur avait remis ça, et les mouettes avaient recommencé à rire.

Sur ce vieux toit, en face, une antenne cassée laissait l’entrevoir, elle, qui guidait à bon port tous ces marins du ciel.

Philippe, Mars 2019.

I thank you for the Sun, the one that shines on everyone who feels love.

Stamattina, mi sono alzato.

Sur mes haillons souillés
sur ma nudité squelettique
sur ma mère gitane
sur mon père berger
j’écris ton nom.

Sur mon premier frère brigand
sur mon deuxième frère boiteux
sur mon troisième frère cireur de bottes
sur mon quatrième frère mendiant
j’écris ton nom.

Sur mes camarades des bas-fonds
sur mes camarades prostitués
sur mes camarades chômeurs
sur mes camarades manœuvres

j’écris ton nom

liberté !

Pour celles et ceux qui auront saisi la règle n°2 de ce blog, il vous faut savoir que la chanson que vous entendrez alors se chante en Italien, et non en Espagnol contre lequel je n’ai rien par ailleurs, dans la mesure où je le suis pour partie.