
Cette vérité est brute, sans filtre et douloureusement universelle.
La vie ne s’arrête pas quand nous sommes épuisés, quand nos cœurs sont brisés ou quand nos esprits se sentent usés.
Elle continue de bouger, inébranlable, indifférente, exigeant que nous suivions le rythme.
Il n’y a pas de bouton pause pour le chagrin, pas de pause pour la guérison, aucun moment où le monde se retire gentiment et nous permet de nous réparer. »
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